"La transition entre une société Réunionnaise plutôt rurale et une société à dominante tertiaire marquant ainsi le passage d’une nouvelle société. Les structures familiales ont aussi changé et on assiste à une dislocation de plus en plus persistante du tissu familial. Le chômage massif altère profondément l’équilibre entre générations.
La plupart des repères anciens ont été bousculés, La société Réunionnaise n’échappe pas à ces bouleversements et les conséquences sont désastreuses dans nos villes, dans nos quartiers.
Une crise des valeurs
Les jeunes ont perdu leurs repères devant l’inexistence de valeurs reconnues, promues et partagées par toutes les composantes de la société. L’absence de modèle, la perte des repères, la dévalorisation de l’intégrité, l’honnêteté, l’effort, du travail, , la promotion des médiocres font que les jeunes s’identifient à des valeurs étrangères, sans consistance, véhiculées dans les NTIC, les séries télévisées, etc.
Les premiers touchés par la crise et le chômage, ce sont eux, les difficultés rencontrées par les jeunes ne menacent pas seulement la paix et la stabilité des quartiers, mais menaces l’équilibre de la société Réunionnaise. L’intégration passe par l’emploi, car il permet d’avoir un statut et un pouvoir économique, mais attention, ce n’est pas le saint Graal ! C’est une priorité mais il faut le coupler avec d’autres aspects…
Etre jeune et chômeur, c’est aujourd’hui être de plus en plus dépendant ; c’est vivre une angoisse permanente quant à son avenir ; c’est renoncé à une vie stable et harmonieuse.
La crise des valeurs est une réalité reconnue de tous. Il faut reconnaître que nos aînés et parents ont leur part de responsabilité, surtout dans la transmission des valeurs. Ils n’ont pas su, sinon de conserver, car eux aussi ont eu envie de changer de vie, Européaniser notre vie, notre société. Comment alors reprocher aux jeunes d’aujourd’hui de pouvoir bénéficier de ce qui a forgé leurs caractères à eux. Ils n’ont pas su laisser la société mieux qu’ils ne l’ont trouvée.
En conclusion :
Le sage dit que « lorsqu’on ne s’est plus où on va, il faut revenir au point de départ », On se rend compte que si des changements fondamentaux ne s’opèrent pas très vite, les choses iront de mal en pire. Une jeunesse qualifiée, formée est un atout, une jeunesse non qualifié est un handicap pour la société.
La jeunesse doit rester une priorité, et il ne faut surtout pas politiser l’enjeu, utiliser ou manipuler la jeunesse, car les apprentis sorciers apprendront à leur dépend ce que c’est un retour de flamme…"
La plupart des repères anciens ont été bousculés, La société Réunionnaise n’échappe pas à ces bouleversements et les conséquences sont désastreuses dans nos villes, dans nos quartiers.
Une crise des valeurs
Les jeunes ont perdu leurs repères devant l’inexistence de valeurs reconnues, promues et partagées par toutes les composantes de la société. L’absence de modèle, la perte des repères, la dévalorisation de l’intégrité, l’honnêteté, l’effort, du travail, , la promotion des médiocres font que les jeunes s’identifient à des valeurs étrangères, sans consistance, véhiculées dans les NTIC, les séries télévisées, etc.
Les premiers touchés par la crise et le chômage, ce sont eux, les difficultés rencontrées par les jeunes ne menacent pas seulement la paix et la stabilité des quartiers, mais menaces l’équilibre de la société Réunionnaise. L’intégration passe par l’emploi, car il permet d’avoir un statut et un pouvoir économique, mais attention, ce n’est pas le saint Graal ! C’est une priorité mais il faut le coupler avec d’autres aspects…
Etre jeune et chômeur, c’est aujourd’hui être de plus en plus dépendant ; c’est vivre une angoisse permanente quant à son avenir ; c’est renoncé à une vie stable et harmonieuse.
La crise des valeurs est une réalité reconnue de tous. Il faut reconnaître que nos aînés et parents ont leur part de responsabilité, surtout dans la transmission des valeurs. Ils n’ont pas su, sinon de conserver, car eux aussi ont eu envie de changer de vie, Européaniser notre vie, notre société. Comment alors reprocher aux jeunes d’aujourd’hui de pouvoir bénéficier de ce qui a forgé leurs caractères à eux. Ils n’ont pas su laisser la société mieux qu’ils ne l’ont trouvée.
En conclusion :
Le sage dit que « lorsqu’on ne s’est plus où on va, il faut revenir au point de départ », On se rend compte que si des changements fondamentaux ne s’opèrent pas très vite, les choses iront de mal en pire. Une jeunesse qualifiée, formée est un atout, une jeunesse non qualifié est un handicap pour la société.
La jeunesse doit rester une priorité, et il ne faut surtout pas politiser l’enjeu, utiliser ou manipuler la jeunesse, car les apprentis sorciers apprendront à leur dépend ce que c’est un retour de flamme…"
Partager
